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Chris Bumstead émeut ses fans avec un cliché attendrissant de sa fille
Dans le monde musclé du bodybuilding, où les titres et les trophées sont souvent au centre de l’attention, un moment de douceur peut parfois créer une onde de choc bien plus puissante. C’est ce qu’a prouvé Chris Bumstead, icône du bodybuilding, en partageant un instant de tendresse avec sa fille nouvellement née, qui a su faire fondre le cœur de sa communauté.
Un nom à la hauteur de l’émotion
Après avoir envisagé, avec un brin d’humour, de nommer sa fille en hommage à un personnage de Pokémon, Chris Bumstead et sa compagne ont finalement choisi un prénom plein de douceur : Bradley Shay Bumstead. La révélation de ce prénom, le 22 avril, a été faite via un post Instagram célébrant cette nouvelle vie.
L’image partagée par Chris, le montrant tenant sa fille dans ses bras, a été intitulée « an absolute nugget » (une pépite absolue), capturant l’émotion brute de la paternité. La photo a émané la profondeur du lien émotionnel unissant le père à son enfant.
Priorités d’un père dévoué
Au-delà de cette douceur, Chris a exprimé avec franchise ses priorités, affirmant avec humour dans une autre publication :
« Merci à tous pour tout l’amour pour Bradley. Peu m’importe si vous félicitez ma carrière ou pensez que je devrais gagner ou perdre l’Olympia… mais vous feriez bien de trouver mon bébé mignon. »
Cette remarque sincère souligne son dévouement inébranlable envers sa nouvelle-née.
L’aventure de la paternité sur Instagram
Tout au long de leur parcours, Chris et sa compagne Courtney ont partagé des moments intimes de leur bonheur parental à travers des stories Instagram. Ils ont offert à leurs abonnés un aperçu des instants précédant et suivant la naissance de Bradley, des annonces de la grossesse jusqu’aux mises à jour hebdomadaires, le tout empreint d’anticipation.
Cependant, la petite Bradley s’est faite attendre un peu plus longtemps que prévu avant de faire sa grande entrée. Avant même sa naissance, Chris s’est retrouvé à demander des conseils à son vieil ami et champion d’Olympia Men’s Physique, Ryan Terry, lors d’une collaboration d’entraînement.
Un choix de prénom ludique
En mars, lors d’une session de questions-réponses avec sa fiancée, Chris a abordé la question tant attendue du prénom de son bébé. Confirmant qu’il s’agissait d’une fille, il a laissé entendre que son prénom commencerait par un B. Il a suggéré, non sans humour, de la nommer en référence au personnage de Pokémon Blastoise, imaginant une séquence de trois B pour Bradley Blastoise Bumstead. Cependant, Courtney n’a pas adhéré à l’idée, insistant sur le fait que le prénom réel ne serait pas lié à Pokémon. Malgré cela, ils ont maintenu une ambiance ludique et divertissante pour leurs fans.
Un moment qui transcende les titres
Ce partage de l’expérience de la paternité par une figure du bodybuilding mondial rappelle que, par-delà les compétitions et les performances athlétiques, les instants de vie personnelle ont une résonance particulière auprès du public. La sincérité de Chris Bumstead dévoilée à travers ses interactions avec sa fille montre une facette plus intime et humaine, souvent omise sous les projecteurs du culturisme professionnel.
Les clichés de ce genre démontrent que dans le monde parfois impitoyable du sport de haut niveau, où les muscles et les stratégies de compétition prédominent, les moments de pureté émotionnelle sont d’autant plus précieux et célébrés.
Conclusion : Une famille en dehors des podiums
En mettant en lumière sa vie de famille et en la partageant avec ses fans, Chris Bumstead réaffirme que, bien que les victoires et les défaites façonnent une carrière, c’est la vie hors de la scène qui tisse les plus belles histoires. La naissance de Bradley Shay Bumstead est un rappel touchant que les titres de « champion » et de « père » peuvent coexister avec une grâce et une tendresse inattendues, touchant au cœur la communauté bien au-delà des salles d’entraînement et des podiums.
Leçon de vie d’un champion : Chris Bumstead nous enseigne qu’à travers la force physique, c’est souvent la force du cœur qui triomphe.
Reste à savoir si Chris défendra son titre de M. Olympia Classic Physique contre Stéphane Matala et rentrer encore un peu plus dans la légende du Bodybuilding.
